Perag taùein bepred, pen dé er wirioné ?

29 décembre 2006

Respect des langues régionales

Le groupe UDF de l'assemblée nationale a demandé à la séance du 13 décembre l'examen d'un amendement sur les langues régionales proposé, au nom des députés bretons, par Marc Le Fur (UMP). Celui-ci profitait d'une réforme de la constitution pour revenir, encore une fois, sur l'article 2 de la constitution qui stipule depuis 1992 que "la langue de la république est le français". Une trentaine de députés proposaient d'ajouter à cet article "dans le respect des langues régionales qui font partie de notre patrimoine". C'est en effet au nom de cet article, rédigé en 92 dans le cadre d'un débat sur l'anglais, que le conseil constitutionnel interdit la ratification de la charte européenne des langues régionales et minoritaires. La France est le seul pays avec la Turquie a avoir refusé cette ratification. J.-P. Soisson s'en est réjoui lors du débat provoqué le 13 à l'assemblée nationale, G. Charasse a raillé le "patois bourbonnais", M. Baroin, ministre de l'outre-mer, a parlé de "graves dérives communautaristes" et de nombreuses protestations se sont élevées dans les rangs socialistes et communistes, R. Dosière (PS) et M. Vaxès (PC) accusant cet amendement de "polluer" le débat.
Résultat : l'amendement a été rejeté à 13 voix près (110 présents seulement...)
Edifiant...

25 décembre 2006

JOYEUX NOEL A TOUS !

18 décembre 2006

Un vrai lieu de débat démocratique

Avant les élections de 2007, Hugues de Jouvenel, directeur de la revue "Futuribles" demande aux lecteurs de Ouest-France (18 décembre) de s'interroger sur "ce que pourrait être le vrai pouvoir du Parlement, aujourd'hui réduit par l'exécutif et le jeu des partis politiques."
Il poursuit : "Je ne peux m'empêcher de rêver qu'en France, l'Assemblée nationale notamment, moins contrainte par la discipline partisane soit un vrai lieu de débat démocratique sur les choix (économiques, écologiques, fiscaux) qui engagent le nation. Et qu'il en aille de même de toutes les assemblées d'élus, dans les Régions en particulier."

C'est aussi mon rêve, pour la France et pour la Bretagne.

14 décembre 2006

L'Europe, une évidence.

Nous sommes Européens par héritage, parce que notre culture et notre histoire sont communes, parce que, depuis plus de 2000 ans, nos savants et nos marchands, nos moines et nos mercenaires, nos étudiants et nos pélerins divers ont silloné les mêmes chemins, fréquenté les mêmes universités, mêlé leur vocabulaire, leurs monnaies, leur semences, échangé leurs manuscrits et leurs technologies, parce que dans toutes ces villes européennes, dans tous ces paysages, nous sommes chez nous.

Nous sommes Européens aussi par la volonté de nos pères, parce qu'après deux guerres meurtrières en moins de 50 ans, ils ont choisi avec détermination d'unir leurs pays pour assurer à leurs enfants la paix, d'abord, ce bien si précieux et si fragile que nous considérons comme allant de soi et qui fait pourtant cruellement défaut dans tant de régions du monde ; pour leur assurer une plus grande prospérité aussi, et c'est un fait que notre continent est, malgré des inégalités qu'il faudra encore combattre, celui qui offre les meilleures conditions de vie à ses habitants ; pour leur assurer enfin la liberté individuelle et collective et leur permettrede pouvoir établir des relations d'amitié et de solidarité entre tous, et ceci reste un idéal fortement partagé et souvent exprimé avec force par les jeunes d'aujourd'hui.

Dans un monde où les distances se sont réduites mais les inégalités accrues, dans un monde qui nous semble à la fois plus proche et plus menaçant, nous devons affirmer notre identité européenne. Nous devons faire entendre notre voix dans le concert des nations et ce ne sera possible qu'au sein de l'Europe. Car que représentent la France, la Bretagne, face non seulement aux Etats-Unis, mais encore à la Chine, à l'Inde ou à d'autres régions du monde à la démographie galopante ?
Que représentent nos inquiétudes concernant le développement durable, la sécurité sanitaire ou même les dangers d'une guerre nucléaire, bactériologique ou terroriste face aux intérêts premiers de certains pays émergeants ?

L'Europe est la meilleure garantie pour nous de voir préservées notre sécurité et nos valeurs humanistes, et elle est aussi notre meilleure chance de promouvoir dans le monde, entre les pays et entre les personnes, une plus grande justice sans laquelle aucune paix ne peut être durable.
C'est à nous de proposer ces valeurs d'humanisme sur lesquelles l'Europe s'est construite, celles du respect des diversités culturelles et de la personne humaine.

Les candidats à l'élection présidentielle ne peuvent aujourd'hui éluder la question de l'Europe. Trop d'hommes politiques, de droite comme de gauche, ont fait de l'Europe un bouc émissaire facile. Ils portent une lourde responsabilité dans l'échec du référendum sur le traité constitutionnel européen. Les candidats à la présidence, s'ils prétendent devoir un jour représenter la France dans le monde, doivent aujourd'hui affirmer clairement notre appartenance à l'Europe et ils doivent redonner à notre pays le rôle moteur qui a longtemps été le sien dans la construction eureopéenne.

L'Europe est notre passé,
elle est notre présent,
elle est notre avenir.

11 décembre 2006

Un vrai projet pour l'Europe avec Bayrou

En panne d'idées sur un sujet qui ne l'a jamais intéressée, Ségolène Royal lance sa formule magique devenue rituelle : "l'Europe par la preuve" ...et elle fait alliance avec Chevènement pour conquérir l'Elysée. Voilà une preuve vraiment probante !
Mais elle s'est fait reprendre par Jacques Delors qui, à sa proposition d'une "Europe des projets concrets", rétorque devant les socialistes européens réunis à Porto : "Il n'est pas possible de croire que l'on sortira de la crise actuelle uniquement par des programmes concrets ; l'Europe doit vivre de projets à moyen et long terme. Il faut assigner un horizon aux opinions publiques."

10 décembre 2006

Tous à l'UDF

Michèle Alliot-Marie devrait voter Bayrou !

09 décembre 2006

Pour un Europe forte et indépendante

Le président américain George W. Bush a assuré hier le premier ministre Recep Tayyip Erdogan de son "ferme soutien" à l'entrée de son pays dans l'Union européenne.
Je soutiens pour ma part l'entrée du Mexique dans les Etats-Unis d'Amérique.
Mais je soutiens surtout une Europe forte et indépendante capable de parler en son nom et d'être entendue dans le monde.

07 décembre 2006

Guerre des clubs à l'UMP

Nicolas Dupont-Aignan anime l'un des nombreux clubs de l'UMP et lui aussi voudrait incarner une autre droite que celle de Nicolas Sarkozy qu'il juge trop "atlantiste et libérale".
Il n'a pas tort sur le diagnostic...

Ségolène à Disneyland

Ségolène Royal, échaudée par par son expérience au Proche-Orient, a annoncé hier qu'elle reporte son voyage aux Etats-Unis : elle désire "mieux structurer son séjour".
Elle pourrait commencer graduellement...
...par Disneyland Paris ?

06 décembre 2006

Bernard Poignant et le 2ème tour

Dans une lettre ouverte, Bernard Poignant demande à François Bayrou de dire pour qui il appellera à voter au deuxième tour de l'élection présidentielle.

François Bayrou n'a pas à donner de consigne de vote pour le 2ème tour et cela pour 2 raisons :

1) A l'UDF les adhérents et les militants se considèrent comme des adultes libres et responsables de leurs actes. Ils ne demandent pas la permission avant de voter, ils réfléchissent et se déterminent en leur âme et conscience. L'UDF n'obéit pas à la logique partisane du PS ou de l'UMP où l'idéologie et l'appartenance priment trop souvent sur la réflexion et la liberté de conscience. Car qu'y a-t-il de commun entre les partisans déçus de Fabius ou DSK et ceux de Ségolène Royal, sinon peut-être une animosité atavique et irrationnelle de la Gauche contre la Droite ? Eh bien nous prétendons justement à l'UDF échapper à ce clivage obsolète et stérile.

2) La deuxième raison, c'est que Bayrou sera présent au 2ème tour, et peu importe contre quel adversaire : il l'emportera.

Le vote utile, c'est le vote Bayrou !

05 décembre 2006

UMP-PMU

Pour la 4ème fois depuis 2003, Jean Arthuis, sénateur UDF, a proposé une mesure simple et juste : abroger la majoration de pension accordée aux fonctionnaires allant passer leur retraite outre-mer (+75% de majoration pour aller bronzer en Nouvelle-Calédonie).
Plus de 32000 bénéficiaires l'an dernier, un surcoût de 250 millions d'euros payés par le contribuable.
Mais, pour la 4ème fois, la majorité UMP a rejeté l'amendement de Jean Arthuis.
Comment faire confiance à un parti qui ne cherche qu'à conserver les divers avantages des siens ?
Offrir des cadeaux à ses petits copains et laisser la note aux contribuables (et à leurs enfants), c'est l'UMP-PMU : on fait payer tout le monde, les initiés en profitent...

03 décembre 2006

FRANCOIS BAYROU PRESIDENT

C'est vrai Bayrou est sous-estimé (boycotté ?) par la presse, son nom n'est même pas toujours proposé dans les sondages. Pourtant quand le choix est offert, Bayrou apparaît 3ème ou 4ème, avant ou après Le Pen.
Alors à nous de faire le relais.
Ce ne sont pas les médias qui vont adouber Bayrou, ce ne sont pas les lobbies qui vont manoeuvrer en coulisses pour lui.
C'est au peuple de le porter au pouvoir, c'est à nous de le faire connaître et reconnaître.
De faire admettre l'évidence.
Car il est évident que François Bayrou est le plus capable à la fois de rassembler en France et de représenter la France dans le monde.

Au nom de la France

Première gaffe de Ségolène Royal.
Avec pour seule expérience la guerre du Chabichou, elle ne risque pas de faire illusion longtemps, Beyrouth n'est pas dans le Poitou.
Allons-nous prendre le risque de nous couvrir de ridicule à chacune de ses sorties à l'étranger ?
Et, plus grave, si par malheur la situation mondiale devenait plus tendue, peut-on lui laisser la responsabilité d'engager la puissance militaire de la France ?
Nous avons besoin d'un Président sensé, posé, conscient des dangers de notre monde, prêt au maximum pour défendre la paix, mais prêt aussi à assurer la sécurité de la France et du monde libre.

26 novembre 2006

La personne humaine au coeur du politique

Voilà Jean-Louis Borloo qui, à la suite de Christine Boutin ou de MAM, veut "organiser le pôle social de la majorité". Il reconnaît lui aussi que ces "valeurs doivent être plus au coeur du projet qu'elles ne le sont actuellement" (JDD du 26 novembre) Un peu plus au coeur, beaucoup plus au coeur ?
C'est bien ce que dit l'UDF depuis le début : les préoccupations sociales sont les grandes absentes de l'UMP chiraquienne ou sarkozyste. Elles y seront toujours périphériques, jamais "au coeur".
Certains semblent enfin s'en rendre compte à l'UMP, ou feindre de vouloir prendre en compte cet aspect social, à seules fins électorales ? Les deux journalistes du JDD analysent ces revendications comme des moyens de "faire monter les enchères en lorgnant sur Matignon". Laissons-leur la responsabilité de leurs propos...
Devant les inquiétudes des laissés pour compte, Jean-Louis Borloo craint qu'on puisse "laisser aux seuls extrêmes le soin d'y répondre."
Au plus loin des extrêmes, il y a le centre, clairement, sans ambiguité.
Au centre, la personne humaine est au coeur du projet.
A l'UDF, il ne s'agit pas d'une posture électorale de dernière minute : l'attention à la personne humaine est ce qui fonde le parti et le discours constant, cohérent de l'UDF.
L'attention à la personne humaine doit passer avant tout, avant tout système économique ou politique, avant le marché et avant l'idéologie.
Rien ne doit se décider qu'au service de la personne humaine.
Et c'est au service de cette conviction que s'est engagé François Bayrou.

23 novembre 2006

Renouveler la vie politique

Une façon efficace de réellement renouveler la vie politique française est d'interdire effectivement le cumul des mandats et de limiter leur renouvellement à un maximum de deux fois. C'est un bon moyen d'en finir avec ces professionnels de la politique qui cherchent d'abord un emploi et investissent les postes pour des décennies. Ils anéantissent le débat et confisquent la démocratie à leur seul profit.
Et comme ils veulent être réélus et donc ne pas déplaire, ils s'empressent de ne rien faire et bloquent toutes les réformes dont le pays aurait besoin. Un élu est désigné sur un programme et il doit s'engager à le mettre en oeuvre, il n'est pas là pour se faire réélire mais pour mettre en application ce qu'il a proposé sur une période déterminée. Ceux qui se sentent vraiment utiles à la société trouveront d'autres lieux pour la servir. La politique ne doit pas être une profession !
C'est aussi le meilleur moyen pour que la société civile soit représentée par ses membres et non par des "énarques" ou autres fonctionnaires déconnectés des problèmes de la vie quotidienne.
Voilà une des réformes politiques les plus urgentes à proposer.

17 novembre 2006

Rassembler les humanistes et les socio-démocrates autour de l'UDF

Ségolène Royal vient d'être investie par le parti socialiste pour le représenter à l'élection présidentielle.
Ségo-Sarko, la droite affichée contre la droite dissimulée, l'ambiton personnelle contre l'ambition personnelle, l'appareil idéologique contre l'appareil idéologique, le désir du pouvoir contre la volonté du pouvoir, l'art de l'apparence et des médias contre l'art de l'apparence et des médias, les militaires dans les banlieues contre les militaires dans les banlieues, mais les domestiques à Neuilly contre les domestiques à Neuilly...
De l'air, de l'air...
Ceux qui cherchent des convictions humanistes à droite, comme, à gauche, les socio-démocrates qui ont compris qu'on vit dans une économie de marché, finiront par se retrouver autour de l'UDF...

15 novembre 2006

Ségolène : la liberté de mentir

La polémique suscitée par la vidéo diffusant des propos de Ségolène Royal illustre bien le décalage caractéristique du PS, mais aussi de plus en plus de médias, entre le fond et la forme.
On ne s'offusque pas des propos que Ségolène Royal a tenus mais du fait qu'ils aient été diffusés.
Au PS il semble légitime de cacher ses intentions pour être élu, il y a le programme officiel (la vérité du Parti !) et les intentions cachées des uns et des autres.
Et on revendique cette liberté de mentir. On se scandalise non de la dissimulation mais du fait que des propos avérés soient rapportés...
Voilà qui en dit long sur leur sens de la démocratie et qui explique la défiance des Français à l'égard de tous ces professionnels de la politique !

C'est le besoin d'honnêteté qui fera gagner l'UDF

02 novembre 2006

Pourquoi un député UDF pour la circonscription Auray Port-Louis ?

Battre le PS au deuxième tour, c'est possible
et battre l'UMP au premier tour, c'est utile.

La place du centre en Bretagne

En Bretagne, le centre a longtemps représenté utilement les habitants. Dans l'après-guerre, nous n'avons pas oublié l'action pour un développement équilibré de René Pleven, fondateur du Célib, puis premier président de la Région Bretagne. Depuis, il y a eu Pierre Méhaignerie, député, président du département de l'Ille-et-Vilaine, ministre de l'agriculture, puis de l'aménagement du territoire. Il y a eu Jean-Yves Cozan pour la défense de l'identité bretonne. Il y a eu le Célib, la JAC, le CDS, l'UDF.

Pourtant, depuis cinq années, des circonstances politiciennes ont conduit à remettre l'essentiel du pouvoir de décision politique entre les mains des seuls partis UMP et PS. Je crois que c'est à tort.

Comment l'UDF a disparu...

De 1997 à 2002, la Bretagne compte encore 7 députés UDF sur 36 (3 en Ille-et-Vilaine, 2 en Loire-Atlantique, 2 en Morbihan).

En avril 2002 a lieu la création de l'UMP, avant le deuxième tour de l'élection présidentielle opposant Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen. En juin 2002, les 7 députés bretons sont réélus sous l'étiquette UMP. Il ne reste plus un seul député UDF en Bretagne.

Comment l'UDF s'est relevée

Cette concentration des pouvoirs dans les mains d'un seul parti n'a pas été favorable à la droite. Il persiste en effet au centre une exigence de valeurs, de justice sociale et d'équilibre qui lui permet de se développer.

En Bretagne

Alors que l'Etat UMP s'est installé, avec une majorité absolue à l'Assemblée nationale, ce parti perd dès mars 2004 les départements d'Ille-et-Vilaine et de Loire-Atlantique, ainsi que les régions Bretagne (8 élus UDF) et Pays-de-la-Loire au profit de la gauche. Le Morbihan quant à lui élit le président centriste Joseph Kerguéris.

Peut-être par réaction au gouvernement, peut-être par un recentrage des Bretons, l'UMP n'a plus depuis cette date de réalité locale en Bretagne. Aujourd'hui, sur les 14 budgets les plus importants des collectivités territoriales en Bretagne, 13 sont présentés par un exécutif PS.

En Europe

En juin 2004, François Bayrou, président de l'UDF, maintient son exigence d'indépendance, de fonctionnement démocratique, et de défense des valeurs européennes de la démocratie chrétienne. Aux élections européennes en France, alors que l'UMP emporte 17 sièges, l'UDF envoie 11 députés à Strasbourg. Et si à l'Assemblée nationale, le groupe UMP compte encore 12 fois plus de députés que l'UDF (362 contre 29), le rapport n'est plus que de trois pour deux au parlement européen.

Et bientôt en France

L'UDF, autour de François Bayrou, finalise son projet pour 2007 (www.udf.org). François Bayrou sera le candidat de l'UDF à l'élection présidentielle en avril et mai. Puis en juin, l'UDF présentera des candidats dans chacune des circonscriptions législatives. Il nous importe de redonner en 2007 au centre la place qui lui a été confisquée en 2002. A l'UDF, nous voulons redonner une place au débat, aux priorités sociales comme aux responsabilités individuelles.

A l'heure de votre choix pour l'élection législative, je vous demande d'examiner les professions de foi des candidats à l'éclairage de leur programme, et des méthodes du parti politique qu'ils représentent.

01 novembre 2006

Pour un humanisme politique

J'ouvre ce blog
avec l'espoir de voir l'UDF redonner place à l'humanisme dans la politique française.
Parce que je suis persuadée que la politique n'a de sens qu'au service de la personne humaine
et que son premier rôle est d'assurer les conditions de la justice entre les hommes
et d'abord la protection des plus faibles.
Pour garder ce cap, je fais confiance à l'UDF et à François Bayrou,
parce que je crois que la démocratie est fragile,
et qu'il faut un parti et un homme capables de dire non aux appareils, aux idéologies, aux lobbies divers, aux puissances de l'argent et des médias, aux compromissions de tous ordres.
Pour garder ce cap, je pense que l'UDF et François Bayrou sont capables de créer les conditions d'un renouveau politique en France
parce que ce qu'ils réclament et ce qu'ils veulent instaurer, c'est justement plus de démocratie, plus de pluralisme, plus de débat, plus de participation de chacun.

Ce blog est celui de l'UDF dans la 2ème circonscription du Morbihan,
il participe à la démarche de L'UDF : libérer le débat politique, permettre à tous de s'exprimer
et avoir l'espoir d'être représenté bientôt,
pour pouvoir affirmer la personne humaine au coeur du politique.

Christine Bellégo